mots dits en passant
Parce que les mots sont comme des images et les images comme des phrases, tel un aller-retour en forme de jeu, mes petits mots au grè des mes vraCollages sur la voie poétique. Ici imprimé, un à un, sur du papier de ma fabrication tirés de la liste sans fin et ci-dessous (que je complète au grès des mots anciens retrouvés et des nouveaux qui viennent me chatouiller). A consommer sans faim.
Des mots qui habillent également mes découpag&collages, comme un élément incontoiurnable du collage. Tous ont un titre, comme un jeu d'images comme un jeu de mots.

Parce que les mots sont comme des images et les images comme des phrases, tel un aller-retour en forme de jeu, mes petits mots au grè des mes vraCollages sur la voie poétique. Ici imprimé, un à un, sur du papier de ma fabrication tirés de la liste sans fin et ci-dessous (que je complète au grès des mots anciens retrouvés et des nouveaux qui viennent me chatouiller). A consommer sans faim.
Des mots qui habillent également mes découpag&collages, comme un élément incontoiurnable du collage. Tous ont un titre, comme un jeu d'images comme un jeu de mots.

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- L’écrit ne perd pas pied L’écrit ne perd pas pied (Luc Quinton © 1985)
- un jour pourtant un jour pourtant je violerai le temps des amants angoisse d’un soir angoisse d’un soir je regarderai l’espoir passoire et droit devant les enfants épargnants la vie la mort sans remords. (Luc Quinton ©)
- Et si t’as froid J’te fais de gros calins J’r’ajoute une couverture J’monte le chauffage Si t’as plus froid J’coupe le chauffage Enlève la couverture Et continue mes gros calins (Luc Quinton ©)
- Les filles Jolies filles Se défilent De soie (Luc Quinton ©)
- Je conjugue le présent au futur avenir. (Luc Quinton ©)
- De plus grands Deviennent tout petits vieillesse traîtresse Et les ans Emmènent à l’infini Tu as beau avoir côtoyé les montagnes Tu as beau avoir arpenté les campagnes Tu as beau avoir arrosé de champagne (Luc Quinton © 31 mai 1995)
- Figurez-vous figue hâtive aussi hâtive qu’elles le furent (Luc Quinton © 2 novembre 1995)
- adorez-vous préserve hâtive aussi hâtive qu’elles le purent (Luc Quinton © 2 novembre 1995)
- De quelle qu’occas’ qu’elle cause je caracole et colle et n’ose. (Luc Quinton © 21 mars 2001)
- Redonner ses lettres de noblesse à la culture c’est la mettre au courrier du peuple. (Luc Quinton © 16 mai 2001)
- L’avenir du monde n’est pas définitif L’avenir du monde est ce que nous en ferons Opprimés, exploités, massacrés, chétifs L’avenir du monde est ce que nous en ferons (Luc Quinton © 8 septembre 2002)
- L’ingratitude des enfants ça fait encore plus mal lorsque vous les aimez. (Elles sont parties un matin de septembre) (Luc Quinton © 9 septembre 2002)
- Le fin du faim le mot des maux (Luc Quinton © 31 mars 2004)
- Le cycle de la vie déraille pour ceux qui pédale. (Luc Quinton © 17 mai 2004) … comme des forcenés. (Luc Quinton © 10 nov. 2004)
- Révolte face quand la colle cause. (Luc Quinton © 27 mai 2004)
- Mieux vaut tard que jamais, d’accord ! Mais après ? (Luc Quinton © 4 juin 2004)
- Avant de mourir je voudrai n’être (Luc Quinton © 9 juin 2004)
- Avant de n’être surtout ne pas mourir (Luc Quinton © 9 juin 2004)
- Quoi qu’il en soi prenons un ver. (Luc Quinton © 11 juin 2004)
- Quoi que… de cerise, ça fait peu. (Luc Quinton © 11 juin 2004)
- Depuis que l'on se voit la nuit c'est le jour dans ma vie (Luc Quinton © 18 juin 2004)
- Derrière, ça pousse toujours. Et devant ? (Luc Quinton © 30 août 2004)
- Triangle rouge, le grand Marcel, est dans ce bouge, face à sa gamelle. Moustache noire, transpire la vie. (Luc Quinton © 2004. A propos de mon grand-père paternel mort en déportation avec le triangle rouge des déportés politiques)
- Pourquoi parle-t-on de la migraine, de celle qui s’égraine en ennemie ? (Luc Quinton © 7 septembre 2004)
- Vite mémé, Edith médite, et m’évite, mémé vite, et dites… (Luc Quinton © 7 septembre 2004)
- Collages tendres. Collages mûrs. (Luc Quinton © 10 octobre 2004)
- Des mois d’émoi, de toi à moi. (Luc Quinton © 9 novembre 2004)
- Colibricollage. (Luc Quinton © 10 novembre 2004)
- Expoésie de collages. Des collages d’expoésie. (Luc Quinton © 2 décembre 2004)
- L’une le jour, l’autre nuit. (Luc Quinton © 30 décembre 2004)
- Petites phrases, en phase de quoi ? En phase de moi, regarde, écoute et répond-moi. (Luc Quinton © 11 mars 2005)
- J’avale ma live. Salive. (Luc Quinton © 11 mars 2005)
- La vie est ainsi faite, et c’est ainsi, la vie est ainsi fête, et s’éteint si… (Luc Quinton © 25 avril 2005. suite à celle écrite bien avant)
- Avec les vivants, les espérants l’à venir a le dos bon sang de bon soir de l’espoir et je cris ton Non ! (Luc Quinton © mai 2005)
- Je vomis ces figures déconfites qui étalent leurs tartines de fiel. (Luc Quinton © 2 juin 2005)
- Séduire : être mieux comme on est, tout simplement. (Luc Quinton © 9 août 2005)
- Un train vaut mieux que deux tralala. Ah ! bon ? Mais ça veut rien dire. (Luc Quinton © 5 septembre 2005)
- Tout est beau. Des fois, même les rêves. (Luc Quinton © 19 septembre 2005)
- M’emmêler de ça ? Non ! Je ne suis pas rugbyman ! (Luc Quinton © 20 septembre 2005)
- Je ne dis rien mais je n’en pense pas moins. A toi. (Luc Quinton © 20 septembre 2005)
- Dommage !.. Elle n’a pas la bouche de ses yeux… (Luc Quinton © 21 septembre 2005)
- A mesure que l’on avance On prend le pas sur soi On passe souvent Se surpasse quelques fois Et trépasse (Luc Quinton © 2 octobre 2005)
- Sida, vache folle, grippe aviaire… A force de mourir on va bien finir par crever. (Luc Quinton © 11 octobre 2005)
- Après la vache folle, la tremblante du mouton, la grippe aviaire. A force de mourir on va bien finir par crever ma poule. (Luc Quinton © 11 octobre 2005)
- Après la vache folle et la tremblante du mouton, c’est la grippe du poulet. A force de mourir, on va bien finir par crever mon lapin. (Luc Quinton © 12 octobre 2005)
- Fais moi sonner quant t’auras du blé. (Luc Quinton © 15 octobre 2005).
- Hein, tiens, vaut mieux que de tuer l’aura. (Luc Quinton © 22 octobre 2005)
- L’éphémère L’effet mère Les fées mères. (Luc Quinton © 22 octobre 2005)
- La vie est ainsi faite de défaites en défaites on est pas toujours à la fête (Luc Quinton © 23 octobre 2005)
- L’éphémère L’effet mère Les fées mères L’ai fermé. (Luc Quinton © 25 octobre 2005)
- Après une nuit de jeûne, une journée de vieux. (Luc Quinton © 9 novembre 2005)
- Y’a des jeunes beaux couples, et y’a des vieux cons, moches. (Luc Quinton © 25 novembre 2005)
- Mes chaussures, c’est certain. (Luc Quinton © 29 novembre 2005)
- Colleurs de temps Avec ses peines avec ses joies Avec ses rêves et ses émois (Luc Quinton © 29 novembre 2005)
- Mais non, tout est possible Y’a qu’à rêver, concrétiser Et puis aimer… s’aimer ! C’est mais ? Ah bon, ron ron. (Luc Quinton © novembre 2005)
- Vraiment dommage que cet amour n’ai pas plus été Vraiment dommage qu’il se soit ainsi fini vers du plus rien. J’aime pas quand les mots tonnent Emprunts tant… Dommage ! Y’a plus d’saisons ! Vraiment dommage… (Luc Quinton © 9 décembre 2005)
- Désolé mais je n’arrêve à rien. (Luc Quinton © 12 décembre 2005)
- La vie est faite de ses fêtes, de ses défaites. (Luc Quinton © 20 décembre 2005)
- D’accord, je ne suis pas un cadeau. Tu peux m’emballer. (Luc Quinton © 25 décembre 2005)
- Sans alcool la fête est plus folle Avec alcool la folle est défaite (Luc Quinton © 13 janvier 2006)
- Côté cœur, j’ai pas trop trouvé chaussure à mon pied. Alors je garde mes tong… (Luc Quinton © 17 janvier 2006)
- A colle et à cris ! (Luc Quinton © 25 janvier 2006)
- Anti-conformiste tout ce qu’il y a de conformiste !… Anti-conformiste d’un conformisme… (Luc Quinton © 12 février 2006)
- Depuis Adam et Eve la co-sanguinité. Comment veux-tu depuis que tout aille bien entre les frères humains ? (Luc Quinton © 5 mars 2006).
- Je suis dans les choux, et toi, ma rose. (Luc Quinton © 14 avril 2006)
- Une rose pour toi mon choux (Luc Quinton © 14 avril 2006)
- P’tit tapis dur p’tit à p’tit dur P’tit tapis rouge p’tit à p’tit bouge (Luc Quinton © 15 avril 2006)
- Les trois premières lettres de vieillesse sont les trois premières lettres de vie. (Luc Quinton © 15 avril 2006)
- Les trois premières lettres de vieillesse sont les trois l’être de vie. (Luc Quinton © 15 avril 2006)
- L’évidence du signe. (Luc Quinton © 21 avril 2006)
- Les trois premières lettres de vieillesse sont les trois premières lettres de vie. Et le reste, c’est devenu quoi ? (Luc Quinton © 15 avril 2006)
- Reprends ta vie mon vieux Vis tes envies Reprends ta vie mon vieux Fais des envieux ! (Luc Quinton © 21 avril 2006)
- Brut de des collages. (Luc Quinton © 24 mai 2006)
- Je n’envie rien alors je meurs. (Luc Quinton © 24 juin 2006)
- Je n’envie rien de ces mœurs. (Luc Quinton © 27 juin 2006)
- Il est des jours où la nuit est bien noire. (Luc Quinton © 28 juillet 2006)
- Entre rien et rien du tout, il faut faire la part des choses. (Luc Quinton © 26 août 2006)
- Chat échauffé craint l’échafaud (Luc Quinton © 3septembre 2006)
- Auvent en emporte le temps (Luc Quinton © 5 septembre 2006)
- Chat vrai et fauché craint l’échafaud. (Luc Quinton © 6 septembre 2006)
- Je suis dans les choux morose… (Luc Quinton © 8 septembre 2006 ; après celui du 14 avril 2006)
- Un vent à des corbeaux un nez. (Luc Quinton © 3 octobre 2006)
- Un paon à des corbeaux un geai. (Luc Quinton © 3 octobre 2006)
- Machin Machine sont dans la débine. Machin déprime. Qui turbine ? (Luc Quinton © 7 octobre 2006)
- Machin Machine sont dans la déprime. Machin se débine. Qui turbine ? (Luc Quinton © 7 octobre 2006)
- Quand les cons se gratulent les pustules, c’est plus fort que moi, je recule. (Luc Quinton © 7 octobre 2006)
- Tant va l’autruche ado qu’à la fin elle se cache. (Luc Quinton © 22 octobre 2006).
- je ne sais plus d’où il me vient s’il m’est venu à pied en train je ne sais plus j’me souviens plus c’est si lointain (Luc Quinton © 22 octobre 2006).
- D’accord t’es moche et con, mais, imagine, t’aurais pu être con et moche. (Luc Quinton © 26 octobre 2006)
- Mieux vaut tarte que jeûner. (Luc Quinton © 16 novembre 2006)
- En matière de raison, il n’y a pas de raison d’être raisonnable. (Luc Quinton © 5 décembre 2006)
- Après la vie vient le vieux temps (Luc Quinton © 9 décembre 2006)
- Perdre son temps à se retrouver. (Luc Quinton © 17 décembre 2006)
- Les jours passent et trépassent et je me lasse. (Luc Quinton © 14 janvier 2007)
- Les jours passent, trépassent, et je me tasse, et je me lasse, et je me casse, cale basse. (Luc Quinton © 14 janvier 2007)
- Je suis cyclothymique et c’est ma vie que cela nique. (Luc Quinton © 1er février 2006)
- Château Pape ? Du neuf ! (Luc Quinton © 1er février 2007)
- La belle et la bonne surannée… (Luc Quinton © 2 février 2007)
- Quand une loi n’est pas bonne, c’est de bon aloi l’idée qu’on l’abandonne. (Luc Quinton © 8 février 2007)
- La France est dans le monde et le monde est dans la merde (Luc Quinton © 28 mars 2007)
- Je m’élève dans la hiérarchie, j’ai acheté un trou. (Luc Quinton © 6 avril 2007)
- Je m'élève dans la société, je suis propriétaire, d'un trou. (Luc Quinton © 6 avril 2007. En référence à l’acquisition de mon atelier)
- Alla dieu, ma, car il y a un ma oh ! Mais ! (Luc Quinton © 6 avril 2007)
- Promenons-nous dans les bras de celle qui n’en a pas (Luc Quinton © 30 mai 2007)
- Je m’épanche donc tu fuis. (Luc Quinton © 14 juin 2007)
- Tout temps passant. (Luc Quinton © mai 2007).
- T’es drôle toi comme mec. Oui ! Je sais, mais ça n’me fait plus rire. (Luc Quinton © 17 juillet 2007)
- L’amie graine me prend la tête d’une force qu’étau ou tard j’imploserai. (Luc Quinton © 18 juillet 2007)
- Inexorablement l’amie graine égrène sa haine. (Luc Quinton © 18 juillet 2007)
- Encore et en corps l’amie graine assène ses coups de tête dans le murmure. (Luc Quinton © 18 juillet 2007)
- Encore et en corps l’amie graine assène ses coups de mur dans la tête et frappe et cogne sans vergogne en corps et encore sans queue ni tête et sans cesse. (Luc Quinton © 18 juillet 2007)
- L’amour l’amour… la mort toujours. (Luc Quinton © 31 juillet 2007)
- Ils sont bien Tous ces petits couples Main dans la main Ils sont bien Tous ces petits couples Jusqu’à demain Et quand ils auront fait la boucle Des lendemains Ils en reviendront les petits couples Jusqu’au prochain (Luc Quinton © 9 août 2007)
- Le con plisse des yeux, réfléchis, et s’en va. (Luc Quinton © 9 août 2007)
- Le con plisse des yeux La regarde Lui sourit L’aime Se tait et n’en pense pas moins Le plus complice des deux Se regarde Et sourit Il l’aime, se tait et pense à demain Sans elle. (Luc Quinton © 9 août 2007)
- Le complice plisse du non Et opine du chef Il se découvre, seul, face à lui Seul complice en lice Pour faire le con (Luc Quinton © 9 août 2007)
- La complice m’a mité. (Luc Quinton © 10 août 2007)
- Pas facile de regarder Mes filles s’envoler Sans moi Qui n’est plus d’elles. (Luc Quinton © 13 novembre 2007)
- Un autre gong est possible. (Luc Quinton © 6 décembre 2007)
- Pas en vie de mort. (Luc Quinton © 6 décembre 2007)
- elles t’allument les teignes et le jour de l’idée lumineuse elles t’éteignent (Luc Quinton © décembre 2007)
- elles t’allument les teignes et, un jour lumineuses, elles t’éteignent (Luc Quinton © 31 décembre 2007)
- les mots pour le dire les maux pour le pire (Luc Quinton © 12 janvier 2008)
- je n’ai pas peur de la foudre du coup je m’enflamme vite (Luc Quinton © 27 janvier 2008)
- je n’ai pas peur de la foudre du coup je m’en femme vite (Luc Quinton © 27 janvier 20008)
- j’aimerai être heureux, mais pas tout seul (Luc Quinton © 27 janvier 2008)
- 14 février. Actualité : la fin des lamantins. (Luc Quinton © 14 février 2008)
- crois de moi si je beurre plus rien à faire (Luc Quinton © 15 avril 2008)
- Oh ! Bé... Déjà gros avant d'avoir vécu ? (Luc Quinton © 7 janvier 2010)
- Si pas faux culs Vrais cons ! (Luc Quinton © 29 janvier 2010)
- Les femmes, elles t'allument, elles t'allument, et t'éteignent dès que tu clignotes. (Luc Quinton © 5 septembre 2011)
- L'eau ça ne se prend pas ça s'apprend. (Luc Quinton © 9 janvier 2012)
- Les matins arrivent souvent trop tôt. (Luc Quinton © 10 janvier 2012. 6h35)
- La verve à moité haine, moité avide. (Luc Quinton © 19 janvier 2012)
- Vieux vantard que j'aimais. (Luc Quinton © 21 janvier 2012)
- En vers et vent debout. (Luc Quinton © 25 janvier 2012)
- En fer et contre vous. Enfer et contre vous. (Luc Quinton © 6 mai 2012)
- De Nîmes à Annonay, mots non-anonymes. (Luc Quinton © 14 mai 2012)
- L'épis ne fait pas l'avoine. (Luc Quinton © 16 mai 2012)
- J'ai froid, mais ce n'est pas le temps. Parce que je n'ai pas le temps d'avoir froid. Mais j'ai froid. (Luc Quinton © 21 mai 2012)
- Quelle poésie Prévert. (Luc Quinton © 22 mai 2012)
- Quelle heure peut-il être ? Sûrement ! (Luc Quinton © 3 juin 2012)
- Traumatisé à vie par la mort. (Luc Quinton © 28 juin 2012)
- Pouvoir avoir le pouvoir de voir. (Luc Quinton © 28 juin 2012)
- Jamais jamais. Deplus en plus. Moins. (Luc Quinton © 4 juillet 2012)
- Vrac'collages sur la voie collée. (Luc Quinton © 1er août 2012)
- Vrac'collages sur la voie publique. (Luc Quinton © 1er août 2012)
- Vrac'collages sur la voie pudique. (Luc Quinton © 3 août 2012)
- Les kilomètres sont une belle invention. Seul revers : ils éloignent de ceux qu'on aime. (Luc Quinton © 28 août 2012)
- Labourer dans la durée pour que la migraine ne vous plante pas profond. (Luc Quinton © 28 août 2012)
- Ce matin Le ciel est par terre. En haut, y'a plus rien. (Luc Quinton © 11 octobre 2012)
- Dans la nuit du premier jour, je me suis éclipsé. (Luc Quinton © 11 octobre 2012)
- La perfection a été prise en défaut : elle était en excès de vitesse. (Luc Quinton © 6 novembre 2012)
- Pierre qui rouille agace la nouille fracasse la bouille marave la bouille chante la gargouille. (Luc Quinton © 13 novembre 2012)
- Les jours racourcissent Les jours rallongent De qui se moque-t-on ? (Luc Quinton © 19 novembre 2012)
- Ni pécheur ni chasseur. Allez Lucia ! (Luc Quinton © 12 février 2013)
- Le triste prend le pas sur le gai Le triste branle bas sur le quai Le triste s'abat au milieu du gué Le triste s'en voit et s'égaie Le triste s'en va et laisse le gai. (Luc Quinton © 26 mai 2014)
- On est comme on né L'essentiel est comme on le vie. (Luc Quinton © 22 juin 2014)
- J'avoue lundi comme j'épanche. (Luc Quinton © 24 octobre 2014)
- Cette tête me casse les pieds. (Luc Quinton © 21 novembre 2014)
- Heureusement, il y a les poètes pour nous éclairer la voie. (Luc Quinton 18 décembre 2014).
- Cordial'amant. (Luc Quinton © 18 décembre 2014)
- Avoir raison à tord et à travers. (Luc Quinton © 18 décembre 2014)
- J'ai mal à ma liberté. (Luc Quinton © 7 janvier 2015)
- La foi me donne mal au coeur. (LQ © 18 janvier 2015)
- Pour ne plus mourir, je prends parti de nous rire. (Luc Quinton © 18 janvier 2015)
- Je suis suivi par mon médecin mais il ne m'a pas rattrapé. (Luc Quinton © 28 janvier 2015)
- Bientôt la Grèce va faire tâche d'huile. (Luc Quinton © 28 janvier 2015)
- Le bonheur jusqu'à pas d'heure, c'est à quelle heure ? (Luc Quinton © 23 février 2015)
- L'heure est un leurre. (Luc Quinton © 17 mars 2015)
- En fait met ce qu'il te plait. (Luc Quinton © 9 mai 2015)
- Des collages déconnage. (Luc Quinton © 7 juin 2015)
- Oui je vote non avec les grecs. (Luc Quinton © 2 juillet 2015)
- Qu'avons-nous fait de notre non ? (Luc Quinton © 10 juillet 2015)
- Il y a des jours, on dirait la nuit. (Luc Quinton © 26 août 2015)
- Un jour raison, toujours raison ? (Luc Quinton © 18 janvier 2015)
- Bientôt, la Grèce va faire tâche d'huile. (Luc Quinton © 28 janvier2015)
- Je suis suivi par mon médecin mais il ne m'a pas rattrapé. (Luc Quinton © 28 janvier 2015)
- Le bonheur le bonheur jusqu'à pas d'heure. C'est à quelle heure ? (Luc Quinton © 23 févrirer 2015)
- L'heure est un leurre. (Luc Quinton © 17 mars 2015)
- Caracolent les mots. (Luc Quinton © 7 avril 2015)
- Je colle, caracole et m'envole. (Luc Quinton © 7 avril 2015)
- En fait met ce qu'il te plait. (Luc Quinton © 9 mai 2015)
- Des collages déconnage ! (Luc Quinton © 7 juin 2015)
- Humour est vie. (Luc Quinton © 29 juin 2015)
- Oui je vote non avec les grecs. (Luc Quinton © 1er juillet 2015)
- Vous dites artiste engagé ? Non. Citoyen ! (Luc Quinton © 2 juillet 2015)
- Viril comme un mal heureux. (Luc Quinton © 8 juillet 2015)
- Qu'avons-nous fait de notre non ? (Luc Quinton © 10 juillet 2015)
- Il y a des jours on dirait la nuit. (Luc Quinton © 26 août 2015)
- Un jour raison, toujours raison. (Luc Quinton © 27 août 2015)
- Un jour raison n'est pas raison. (Luc Quinton © 27 août 2015)
- La vie est belle sans trop de gamelles. / La vie est belle sans ses gamelles. (Luc Quinton © 31 août 2015)
- Il hait des jours où il fait nuit. (Luc Quinton © 1er septembre 2015)
- Il hait des jours où la vie nuit. (Luc Quinton © 1er août 2015)
- Aujourd'hui je suis rouge sombre. (Luc Quinton © 23 septembre 2015)
- Ils pensaient et disaient grande la planète. Mais elle est si petite. (Luc Quinton © 29 septembre 2015)
- Rébeaulution. Rébobolution. (Luc Quinton © 7 octobre 2015)
- Tu rêves Prévert... (Luc Quinton © 8 octobre 2015)
- S'envole et caracole Prévert. (Luc Quinton © 9 octobre 2015)
- Et le plus simplement du monde, si nous cherchions à être humain ? (Luc Quinton © 15 octobre 2015)
- L'immonde bête aux ventres multiples et aux immondes têtes. (Luc Quinton. 18 novembre 2015)
- Vieux Mozart que jamais. (8 mars 2017).
- Je ne suis pas beau mais j’ai du charme… Dit-on. (13 mars 2017)
- Il en est qui pensent très haut. D’autres pensent de côté. Et tombent bien bas. (18 mars 2017)
- Quand tu es bien sympa. Tu es sympa. Quand tu es un peu con. Tu es vraiment trop con ! (23 mars 2017)
- Des flics. Des vigiles. Des vigiles. Des flics. Où est le hic ? (Luc Quinton © 24 mars 2017)
- Ton chemisier. Aux délicieuses courbes verticales. Mon teeshirt aux lignes couchées à l’horizontale. Pas de doute. Nous sommes fait pour nous croiser. (Luc Quinton © 27 mars 2017)